INTERVIEW PHOTO SELAH SUE PAR EDDY ABIMBI

Rencontre avec Selah Sue, la jolie blonde à la voix de «black diva». Après s’être fait remarquer par le chanteur Prince et avoi remporté un disque d’or avec son premier album, Selah Sue nous dévoile entre deux concerts une partie de son univers.

Je fais partie de la génération média sociaux

Eddy Abimbi: Selah Sue bonjour, vous avez 22 ans et vous êtes
déjà disque d’or. Quand avez-vous su que vous vouliez faire de la musique ?

Selah Sue : Je devais avoir 16 ans, j’ai commencé à chanter puis j’ai pris la guitare. Je pense que j’ai une très bonne oreille. J’écoutais beaucoup Lauryn Hill et Erykah Badu et j’ai absorbé un petit peu de ça et d’autres choses que j’écoute.

Eddy Abimbi: Vous avez un style à la fois ragga, soul et hip-hop. Vous adorez le mix ?

Selah Sue : Oui j’ai beaucoup de styles en fait. Dans cet album,
j’ai eu une vision assez soul mais j’aime aussi le dubstep et l’électronique. Ce seront
des univers que j’explorerais sûrement dans le prochain album.

Eddy Abimbi: Votre titre Raggamuffin a déjà enflammé les scènes , votre autre titre Peace of mind semble être parti pour
avoir le même succès, pouvez-vous nous en parler ?

Selah Sue : Quand j’ai reçu la musique instrumentale de mon producteur, j’ai vraiment ressenti que c’était à la fois massif et super cool. Ça m’a vraiment donné plein d’idées pour écrire et étonnamment ce fut fini en un jour.

Eddy Abimbi: Comment définiriez-vous votre style ?
Selah Sue : Les couvertures, les typographies, les vêtements, je pense que tout ça c’est comme la musique, c’est aussi de l’art. Je porte les choses que j’aime mais bon… je ne me concentre pas sur ça, moi c’est vraiment la musique.

Eddy Abimbi: Comment communiquez- vous avec vos fans ? Vous « Tweetez »?
Selah Sue : Oui je fais partie de la génération media sociaux. Je m’occupe moi même de ma page.


Eddy Abimbi: Si je veux vous retrouver, je peux aussi aller sur Facebook alors ?

Selah Sue : Oui voilà ! c’est pas dur de me retrouver (Rires) .

 

Propos recueillis par Eddy Abimbi

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